vendredi 21 août 2009

Le développement off-shore, ça marche !

Avez-vous vu le reportage au 20h de France 2 le 19 août 2009 – sur le développement informatique en Inde ?
Le reportage tendait à démontrer que les délocalisations seraient à l’origine de la baisse très importante des offres d’emploi dans l’informatique (-38% en juillet par rapport à 2008).


Pourtant, le pourcentage des « délocalisations » de prestations informatiques reste faible en France - selon les sources entre 2 et 4% en valeur – comparé à d’autres pays européens.Voir à ce sujet l’article du Journal du Net...

Hormis les grosses SSII - comme Cap Gemini ou Stéria - les sociétés françaises qui utilisent régulièrement les services de développeurs – éditeurs, SSII, …- rechignent à faire appel à des développeurs off-shore et ce pour plusieurs raisons :
  • une 1ère expérience malheureuse (parfois très malheureuse !)
  • un niveau de langue anglais insuffisant pour travailler avec un développeur à distance (on peut aussi travailler avec des tunisiens, des marocains, des malgaches ou des roumains qui sont francophones !)
  • un manque de temps pour manager le développeur (cas des petites structures surtout)
  • la peur que le développeur parte avec le code
  • et encore bien d’autres !


Pour revenir sur les expériences malheureuses, la bonne question c’est : pourquoi ces expériences ont-elles échoué ? Les raisons sont multiples mais tournent le plus souvent autour de 4 thèmes :
  • projet mal adapté à l’off-shore
  • mauvaise qualité du codage- specs pas assez claires
  • manque de suivi du développeur (gestion de projet)
Projet mal adapté à l’off-shoreLa magazine Solutions & Logicielles dans son N° 5 (déc. 08 – jan 09) a parfaitement analysé la question. En résumé, la société qui confie à l’off-shore un projet court, complexe avec une forte pression sur les délais a tout faux !
C’est effectivement tout le contraire qu’il faut faire pour démarrer un projet avec un développeur off-shore : un projet simple sans contrainte de délai.
Pourquoi ? Pour donner le temps à chacun – le développeur et celui qui le gère à partir de la France -de prendre ses marques : méthode de travail, environnement de développement, tests, livraisons, gestion des versions…tout ça doit être rodé avant d’être opérationnel.



Mauvaise qualité du codageStatistiquement les développeurs indiens, marocains ou autres ne sont ni meilleurs ni plus mauvais que les nôtres. Comme en France, il y a des bons et des …moins bons ! Alors c’est sûr que, si on n’a pas eu l’occasion de tester la valeur du développeur avant de démarrer le projet, on s’expose à quelques désagréments !



Specs pas assez clairesDu fait de l’éloignement qui limite la communication, les specs transmises à un développeur off-shore se doivent d’être encore plus « clean » que celles données à un développeur qui travaille dans vos locaux.Alors on oublie la demande expliquée sur un coin de table et on passe le temps qu’il faut pour préparer un document structuré qui explique :
  • le contexte du projet
  • les phases éventuelles
  • les specs détaillées
Plus on passera de temps en amont, moins on en passera en aval !


Manque de suivi du développeurMême en utilisant les moyens modernes de communication – email, messagerie instantanée (le téléphone c’est pas mal non plus !) la distance augmente les difficultés pour communiquer efficacement avec le développeur off-shore.
Alors vous allez me dire : « mais comment il sait tout ça, lui ? »
Et bien parce que chez I-COM Software, ça fait maintenant 6 ans qu’on travaille avec des développeurs basés au Sri Lanka et ça se passe tellement bien qu’on a ajouté à nos offres une prestation de développement off-shore baptisée « I-COM Profile », avec des développeurs qualifiés facturés entre 1 800 et 2 500 € HT par mois tout compris.


Pourquoi ça marche I-COM Profile ?
Pour 2 raisons principales :
  1. Des développeurs testés et évalués régulièrement. Les développeurs que nous proposons subissent un programme de tests très sélectifs à l’embauche. Chaque développeur est évalué tous les mois à la fois en interne et par son client.Les développeurs sont également testés sur des sites dédiés comme http://www.expertrating.com/ où ils peuvent aussi passer des tests de certification. De plus, le client peut les tester avant le démarrage du projet.
  2. Un accompagnement tout le long du projet par un chef de projet à partir de la FranceLe travail avec un développeur à distance doit être organisé pour être efficace.Coder efficacement pour un développeur off-shore présuppose que vous ayez défini à l’avance l’environnement de développement, le mode d’échange des spécifications, le mode de communication, le versioning, la maintenance, …


I-COM Software vous assiste dans la mise en place de cette organisation.Le développeur est interrogé chaque matin par I-COM Software pour faire le point sur les travaux en cours et déceler le plus en amont possible d’éventuelles difficultés.


Alors pourquoi ne pas essayer ?! Pour en savoir plus cliquez sur ce lien.
A bientôt !

Jean-Charles Robert
Ingénieur d'affaire chez I-COM Software
I-COM Software :
Son site / Son flux RSS / Son flux Twitter




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